Il mesure environ 28cm de hauteur, 34cm de largeur et 10 cm de profondeur. Sa particularité : on utilise un stabilisateur  de Style-Vil épais et rigide, que l'on met en sandwich entre le tissu du dessus et la doublure. le stabilisateur est épais, il rigidifie le sac.

Il faut donc matelasser les différents éléments du sac avant l'assemblage.

Pour le matelassage, j'ai utilisé des règles Westalee qui permettent de tracer des figures régulières sans déraper. Pour un matelassage esthétique, il faut utiliser des aiguilles spécial quilting, une table extension pour manoeuvrer facilement, et une feuille de téflon sous la pièce à quilter pour que le tissu glisse bien.

J'ai voulu vider un peu mon armoire à tissus, et puiser uniquement dans mes réserves.

J'ai utilisé un lot de 7 tissus makower UK cotton de 25 sur 110cm chacun.

la difficulté a été pour moi l'agencement des couleurs , car il y a 2 poches intérieures et 2 extérieures.

Me reste encore à décider si je vais mettre ou non un napperon sur le rabat du devant?

Est-il incongru, même si c'est un rappel des fleurs du tissu de la poche?

Modèle paru dans le livre Millefiori Quilts 1 (Editions Quilmania)

Défi lancé par Emma, il y quelques années déjà.

Chaque morceau de chaque rosace est théoriquement collé sur un gabarit carton.

les morceaux sont assemblés petit à petit à la main.

mais j'ai vite triché et cousu les rosaces à la machine.

 Je les quiltées une à une, individuellement, avec un dessus de lit de récupération.

le jeu était d'utiliser des restes de tissus ; ainsi pour moi, chaque rosace a une histoire.

le problème a  été de trouver un tissu de fond.

et ma passacaglia est restée abandonnée pendant des mois... jusqu'à ce que je trouve un grand morceau de toile de jute, dans le grenier de mes parents.

Je l'ai lavé, retaillé, surjeté et ourlé...

Ravie d'en finir avec ce projet.

En tout cas, ma passacaglia ne restera pas au fond d'un placard, même si elle est imparfaite, elle deviendra, soit un dessus de lit, soit un dessus de table, soit un rideau, mais on s'en souviendra !